Comme un pain d'épices surprise
L'automne est bel et bien là avec le ciel gris et bas, la bruine, les températures en baisse. Tout ce qu'il faut pour vous mettre le moral en berne. Alors quoi de mieux pour se réconforter qu'un bon feu de pellets, un chocolat végétal et un bon pain d'épices.
Pour le visuel, je me suis inspirée de Marie Chioca. Bien sûr le résultat n'a rien à voir puisque je n'ai pas utilisé sa recette car je n'avais pas tous les ingrédients pour la suivre à la lettre. Et il faut suivre la recette à la lettre pour avoir le même résultat. La preuve plus bas! En plus le mien a cuit bien plus longtemps et les pommes sont toutes ratatinées et détachées de la pâte.
Néanmoins ce pain d'épices était quand même bien goûteux même si à la maison, il y a une préférence pour la version sans pommes. Perso, j'ai adoré le goût d' épices pris par les pommes, du coup c'est moi qui les ai toutes mangées hi,hi ( pas d'un seul coup, je vous rassure)
Pain d'épices surprise
3 pommes bio royal gala
250 g de miel
100 g de sucre en poudre
250 g de farine d'épeautre T65
1 sachet de levure chimique
1 cuillère à café d'extrait de vanille
2 oeufs
10 cl de lait d'épeautre ou autre
1 cuillère à café d'épices pour pain d'épices
Préchauffez votre four à 180°C
Mettez la farine dans un saladier avec la levure, les épices, l'extrait de vanille.
Diluez le tout avec le lait d'épeautre.
Ajoutez les oeufs et mélangez bien.
Ajoutez enfin le miel et mélangez jusqu'à obtenir une préparation homogène.
Lavez les pommes et mettez-les entières dans un moule à cake recouvert de papier sulfurisé.
Versez la préparation dessus et enfournez pour 45/50 mn à 180°C.
Démoulez quand le pain d'épices a refroidi.
Je n'ai pas mis le sucre indiqué sur la recette initiale car j'ai utilisé du miel de châtaigner et à la dégustation c'est déjà bien sucré pour moi.
Je pense que 45/50 mn de cuisson sont largement suffisantes pour que les pommes restent assez fermes pour tenir à la découpe et rester solidaires de la pâte. Le mien a cuit 1h15 et c'est trop.
Voici le mien
Et celui de Marie
Et c'est là que je rends compte du travail qu'il me reste à faire et que mes photos sont d'une tristesse afligeante...